C’est un fait connu relatif aux objets d’origine noble : toute la ville de Meissen – y compris les clients des fast-foods – mange dans des assiettes en porcelaine fine ; dans les environs de Milan une personne sur deux porte de la haute couture ; en Champagne, on ne saurait boire de l’alcool acheté au supermarché. De la même façon, on voit bien plus de jolies montres aux poignets des habitants de Glashütte que dans le centre-ville de Helsinki, ou même dans le quartier des banques de Zurich. Chez le boulanger, lors d’une promenade ou en croisant son voisin devant les boîtes aux lettres : à Glashütte, partout où vous irez , vous tomberez sur ces œuvres d’arts nées de 175 ans de savoir-faire horloger que fête cette année la célèbre ville. La photo ci-dessus montre quatre produits originaux de Glashütte : Rosi Schönberger, son petit-fils Robert et leurs montres : Club Campus neomatik et Ludwig 38 de NOMOS Glashütte. Et ce qu’on ne voit pas sur la photo, mais que nous ne perdons pas de vue : l’arrivée de chacune des délégations attendues dans la ville horlogère à l’occasion de son 175e anniversaire.

Le champignon portant le nom d’amanite tue-mouches est le symbole du poison. Mais il peut, par là-même, être utile, par exemple en cas d’entorse ou de morsure de serpent. Il peut également mettre de bonne humeur s’il est mis dans de la vodka et que l’extrait est consommé au goutte à goutte. Mais attention, nous n’assumons aucune responsabilité pour ces astuces : demandez conseil à votre médecin avant d’entreprendre quoi que ce soit avec un tel champignon. Et comme la montre NOMOS Tetra sur cette photo, vous aussi, venez visiter le musée du champignon à Glashütte-Reinhardtsgrimma où vous pourrez vous renseigner et observer les différentes espèces de champignons de plus près.

Glashütte est une petite ville, presque un village, mais elle attire les visiteurs par son charme magnétique. L’école d’horlogerie, le musée de l’horlogerie, la maison fondatrice, les manufactures : l’art de la mesure du temps, qui a maintenant 175 ans, attire tout le monde. Les touristes, comme les hommes et les femmes politiques, visitent à Glashütte une industrie pleine de contrastes : petite et enracinée dans la culture locale, mais pourtant célèbre dans le monde entier. Les montres, de gauche à droite : Orion, Tangente, Tangente Update et Ahoi, toutes de la manufacture NOMOS Glashütte.

On fait souffler un vent nouveau : M. Schönberger accroche son jean préféré pour le faire sécher par une journée ensoleillée d’automne. Sa montre est conçue pour des utilisations qui requièrent une certaine robustesse, mais le modèle NOMOS Ahoi Atlantik reste entièrement polyvalent – et participe volontiers aux tâches ménagères.

« Là où il y a une volonté, il y a un chemin », dit l’inscription au pied de la vieille fontaine de la ville de Glashütte. Et il y a eu beaucoup de volonté dans les 175 ans d’histoire de l’horlogerie de Glashütte. La statue de la fontaine porte elle-même un modèle pionnier, une montre en édition strictement limitée de NOMOS Glashütte : « Ludwig – 175 ans d’horlogerie Glashütte ».

Premier gagnant ! Club Sport est le nom de la montre NOMOS qui accompagne le trophée que M. Ahrendt tient en main. Un de plus. Une jeune montre regorgeant d’histoires : un mouvement de manufacture de haute précision avec diverses caractéristiques de Glashütte, bien abrité dans son boîtier sportif.

Cette habitante de Glashütte a elle-même longtemps travaillé dans l’une des manufactures. C’est l’une des raisons pour lesquelles elle entretient une relation particulière avec les 175 ans d’histoire de l’horlogerie. Les montres doivent être mécaniques, comme sa Ludwig 38, mais même à Glashütte, le téléphone est numérique.

NOMOS Orion et son propriétaire Jens-Uwe à la boulangerie : tarte aux œufs, petit pain aux graines de pavot, cake aux noix – autant de délices annonçant une visite : Janine, qui vient de Dresde, passe prendre le café.

Mme Treschke a 88 ans, elle est en pleine forme et a travaillé toute sa vie à Glashütte. Pour ce qui est de la précision, elle se fie à sa montre Nomos Tetra. Celle-ci indique justement l’heure d’une partie de dés à l’auberge de Maxen.

Quatre produits originaux de Glashütte : Rosi Schönberger, son petit-fils Robert et leurs montres : Club Campus neomatik et Ludwig 38 de NOMOS Glashütte. Et ce qu’on ne voit pas sur la photo, mais que nous ne perdons pas de vue : l’arrivée de chacune des délégations attendues dans la ville horlogère à l’occasion de son 175e anniversaire.